Selon l'INSEE, à la fin du deuxième trimestre 2013, la dette publique de Maastricht, s'élève à 1912,2 Md€, en augmentation de 41,9 Md€ par rapport au trimestre précédent. Elle représente 93,4 % du PIB , en hausse de 1,6 point par rapport au premier trimestre 2013. La dette publique nette croît plus modérément (+18,1 Md€).
La contribution de l’État à la dette augmente de 41,8 Md€ au deuxième trimestre ; il s’agit pour l’essentiel de sa dette négociable à long terme (+33,7 Md€) et à court terme (+4,4 Md€). En outre, 4,8 Md€ de prêts à long terme accordés aux pays de la zone euro par le FESF sont intégrés à la dette de l’État (voir encadré). Enfin, les dépôts des correspondants au Trésor diminuent de 1,1 Md€.
Les administrations publiques locales se désendettent de 0,8 Md€ à la suite du remboursement d’emprunts bancaires. La contribution des organismes divers d’administration centrale (Odac) à la dette est stable.
La contribution à la dette des administrations de sécurité sociale croît légèrement (+0,9 Md€) du fait principalement de la hausse de l’endettement de la Cades (+1,5 Md€), de la MSA (+1,2 Md€) et de l’Unedic (+1,0 Md€) tandis que l’Acoss et la Cnaf notamment se désendettent (respectivement -1,7 Md€ et -0,6 Md€).
Dette au sens de Maastricht des administrations publiques en point de PIB (*)
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