CERCLE DE L'EPARGNE, DE LA RETRAITE ET DE LA PREVOYANCE
Le Cercle des Epargne, de la retraite et de la prévoyance est un centre d'études et d'information indépendant qui a pour objet de réaliser des études et d'informer les épargnants sur toutes les questions relatives à l'épargne, la retraite et la prévoyance
Pour plus de renseignements et pour tous les contacts presse, vous pouvez nous contacter au 06 13 90 75 48
mercredi 31 décembre 2014
Bourse de Paris, une année pour rien ?
L'indice de la bourse de Paris a perdu 0,54 % en 2014 mettant fin à deux années consécutives de forte hausse. Le CAC 40 termine l'année à 4 272 points. En 2012, le CAC avait gagné 15 % et en 2013, 18 %. Paris, toujours handicapé par le poids des institutions financières et par l'étroitesse de son marché actions. Paris a fait moins bien que la plupart des grandes places financières à l'exception du Footsie britannique plombé par l'or noir et qui a reculé de 2,71 %. Parmi les autres baisses figurent le PSI 20 portugais (- 26,83 %) et l'ASE athénien (- 29,24 %). En revanche, Bruxelles a terminé avec un gain de 12,36 %, Zurich avec + 9,51 %, Madrid avec +3,66 % Francfort avec + 2,65 % et Milan avec + 0,23 %. Le Dow Jones devrait terminer avec un gain de près de 9 % et a battu record sur record soutenu par la vigueur de la croissance américaine.
Pour 2015, si le contexte économique devrait être favorable à la zone euro et en particulier au marché français en retard sur les autres places, les incertitudes pesant sur une éventuelle remontée des taux d'intérêt américains pourraient contrarier l'appréciation du cours des actions. Les incertitudes demeurent fortes. Les experts placent le CAC 40 entre 4300 et 5100 points. Le Cercle de l'Epargne pronostique un début d'année tendue avec une possible amélioration après le mois de juin.
1er janvier : quelques petits changement en matière de retraite
A compter du 1er janvier 2015, les règles de cumul emploi-retraite sont durcies. POur cumuler, il faut avoir liquidé l'ensemble de ses droits et il n'est pas possible de se constituer de nouveaux droits à la retraite. En contrepartie, le système de retraite progressive est assoupli.
Pour la génération 1954, il faudra attendre un peu plus longtemps pour partir à la retraite. L'âge légal passe à 61,7 mois et l'âge de la retraite à taux plein à 66 ans et 7 mois. La durée de cotisation pour avoir une retraite à taux plein est de 41 ans et un trimestre. La génération 1955 se verra appliquer les âges de 62 et de 67 ans avec une durée de cotisation portée à 41 années et 6 mois.
Sans surprise, les cotisations sociales augmentent. L'application de la réforme des carrières longues et de la réforme 2014 entraînent une augmentation des cotisation employeurs et salariés; Les cotisations Arrco-Agirc (retraite complémentaire obligatoire des cadres et des salariés) augmentent également.
460.000 retraités assujetties à la CSG supporteront une hausse de leur CSGavec le passage du taux réduit de 3,8% au taux normal de 6,6%. Mais 700.000 retraités bénéficieront d'une baisse de leur taux de CSG.
BFM Business : Intégrale Placement avec Philippe Crevel
mardi 30 décembre 2014
Le taux d'intérêt légal pour le premier semestre 2015
Le taux d’intérêt légal est fixé désormais par semestre. Il sert de référence pour fixer le taux dans plusieurs domaines comme le le calcul des pénalités en cas de retard de paiement des impôts. Il est utilisé notamment par l’administration fiscale, les organismes bancaires, les commissions de surendettement et la justice.
Débiteur (qui doit) | Créancier (à qui l’argent est dû) | Type de taux |
---|---|---|
Particulier | Particulier | 4,06 % |
Professionnel | Particulier | 4,06 % |
Professionnel | Professionnel | 0,93 % |
Particulier | Professionnel | 0,93 % |
Particulier : personnes physiques n’agissant pas pour des besoins professionnels. Professionnel : tous les autres cas.
Manuel Valls est-il le nouveau libéral ?
Philippe Crevel et Christophe de Voogd répondent aux questions de la rédaction d'Atlantico.fr après la publication de l'interview du Premier Ministre Manuel Valls au quotidien El Mundo
Lire l'interview du Premier Ministre sur le site d'El Mundo
Lire l'analyse croisée de Philippe Crevel et Christophe de Voogt
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Lire l'analyse croisée de Philippe Crevel et Christophe de Voogt
Perspectives éco pour Atlantico
A la demande d'Atlantico, Philippe Crevel s'est lancé dans le difficile exercice des prévisions économiques pour 2015.
retrouver l'analyse de Philippe Crevel
retrouver l'analyse de Philippe Crevel
vendredi 26 décembre 2014
Plus de 820 000 ménages en état de surendettement
Selon la Banque de France, 826 000 ménages seraient suivis dans le cadre des procédures de désendettement. Le nombre de dossiers déposés auprès des secrétariats des commissions de surendettement d’octobre 2009 à septembre 2014 s’est élevé en moyenne à 224 699 dossiers par an. Sur 12 mois glissants, le nombre de dossiers déposés est en augmentation de 3,2%.
Depuis octobre 2009, 977 325 dossiers ont été déclarés éligibles aux procédures légales de traitement du surendettement, c’est-à-dire ont été considérés comme présentant un niveau d’endettement manifestement excessif au regard des capacités de remboursement des ménages considérés. Sur la même période, 356 148 plans conventionnels de règlement ont été conclus entre les débiteurs et leurs créanciers, tandis que, dans les cas où aucune solution négociée n’a pu être mise en place, 306 255 mesures ont été imposées ou recommandées. Enfin, 301 351 dossiers ont été orientés vers la procédure de rétablissement personnel ; depuis le début de l’année, les orientations vers cette procédure représentent 34,3% des dossiers recevables
.
Au total, le nombre de ménages en cours de désendettement, c'est-à-dire ayant bénéficié ou étant sur le point de bénéficier de mesures destinées à remédier à leur état de surendettement, peut-être évalué, sur la base des données recensées à ce titre dans le FICP, à environ 826 000 en septembre 2014.
mercredi 24 décembre 2014
Philippe Crevel à Europe Midi le 23 décembre au sujet des contrats non réclamés
" Il est parfois difficile de retrouver le... par Europe1fr
mardi 23 décembre 2014
L'assurance-vie aime le mois de novembre !
22 décembre 2014
Communiqué de presse de
Philippe Crevel
Directeur du Cercle de
l’Epargne
ASSURANCE-VIE
RESULTATS NOVEMBRE 2014
L’assurance-vie termine l’année
en trombe
Pendant que le
Livret A bat de l’aile, l'assurance-vie a enregistré son onzième mois
consécutif de collecte nette positive, en novembre, avec 1,9 milliard d'euros. Le
mois dernier, les cotisations se sont élevées à 9,2 milliards d’euros soit une
hausse de 5,7% par rapport au mois de novembre 2013. Les rachats ont atteint
7,3 milliards d'euros en recul de 9,9% sur un an. L’encours de l’assurance-vie
est désormais de 1 515,2 milliards d'euros.
Sur les onze
premiers mois, la collecte nette s’élève à 21,3 milliards d'euros. Ce résultat
est imputable à la bonne tenue des primes et à la diminution des rachats. L’assurance-vie
profite de la perte d’attrait de l’immobilier et du désamour des Français
vis-à-vis du Livret A.
Les rendements des
fonds euros malgré leur érosion restent compétitifs par rapport aux autres
placements. Les rendements de 2014 devraient être en retrait de 0,2 à 0,4 point
par rapport à 2013.
La stabilité fiscale
et les moindres tensions financières sur le dossier de la dette favorisent le
premier produit d’épargne des Français. Si l’épargne à court terme est chahutée
par les contraintes de revenus et de dépenses, l’épargne à long terme retrouve
des couleurs. Les Français entendent toujours mettre de l’argent de côté pour
préparer leur retraite ou en vue d’investissements ultérieurs. Les incertitudes
économiques actuelles les incitant à les différer.
Par ailleurs les
Français optent de plus en plus pour les unités de compte prouvant leur
capacité à s’adapter à la nouvelle donne financière marquée par la baisse des
taux. .
Le
Cercle de l’Epargne est un centre de réflexion dédié à l’épargne, à la retraite
et à la prévoyance. Il réalise des études sur ses ces sujets thématiques ainsi
que sur des sujets à dominantes économiques. En Privilégiant une approche
pluridisciplinaire, le Cercle s’appuie sur la diversité des compétences des
membres de son Conseil scientifique. le Cercle privilégie une approche
pluridisciplinaire.
Le Conseil
scientifique du Cercle est composé de Robert Baconnier, Jacques Barthélémy,
Philippe Brossard, Jean-Marie Colombani, Jean-Paul Fitoussi, Jean-Pierre
Gaillard, Christian Gollier, François
Héran, Jérôme Jaffré, Florence Legros, Jean-Pierre Thomas. L’équipe du Cercle
est animée par Philippe Crevel et comprend Sarah Le Gouez (évènement – gestion
des sites Internet – coordination des travaux) et Olivia Penichou
(communication).
Contact
presse :
Olivia Penichou
0607089147
Quand la décollecte du Livret A devient la norme
Quand la décollecte devient la norme
par Philippe Crevel
Pour le septième mois consécutif, le Livret A a connu, au
mois de novembre, une décollecte qui a atteint 1,25 milliard d’euros
(1,63 avec le Livret de Développement Durable). Depuis le début de l’année, la
décollecte s’élève donc à 5,84 milliards d’euros (6,23 avec le LDD). L’encours
du Livret A passe ainsi de 261,6 à 260,3 milliards d’euros.
Novembre réussit rarement au Livret A. Sur ces dix dernières
années, à six reprises, le mois de novembre s’est soldé par des retraits
supérieurs aux versements.
Le faible rendement, le paiement des impôts locaux et la
préparation des fêtes de Noël sont autant d’explications à cette décollecte.
Le Livret A a été victime du regain de la consommation de
0,4 % au mois de novembre. Le Livret A et le LDD sont, en effet, devenus les antichambres
du compte courant ; les Français puisent dans ces enveloppes pour financer
les dépenses incontournables (impôts, logement…) et pour financer les petits
extras de fin d’année.
Par ailleurs, Internet contribue à rendre l’épargne plus mobile et liquide,
les ménages pouvant transférer en ligne l’argent de leurs livrets sur leurs
comptes courants de manière très simple et instantanée.
Le taux du Livret A
peut-il encore baisser ?
Avec une inflation au plus bas, 0,3 % au mois de novembre,
le Gouvernement n’échappera pas à la question de la révision du taux qui est
censée intervenir au 1er février 2015. En application de la formule
en vigueur, ce taux pourrait être fixé à 0,75 % ce qui constituerait un
nouveau plus bas historique.
La diminution du taux réduirait les coûts de la
transformation de la ressource par la Caisse des Dépôts et réduirait ainsi ceux
supportés par le logement social dans le cadre de ses emprunts. Une baisse du
taux favoriserait également le crédit aux entreprises car une partie des
ressources collectées par le Livret A et le LDD est réinjectée sous forme de
prêts aux PME.
Une baisse se justifierait également pour maintenir un écart
raisonnable entre taux courts et taux longs d’autant plus que le Gouverneur de
la Banque de France a, à ce titre, demandé aux compagnies d’assurance de
diminuer le rendement des fonds euros autour de 2,2 %.
Le Gouvernement pourrait être également tenté d’abaisser le
taux du Livret A afin d’encourager les Français à retrouver les chemins de la
consommation. Néanmoins, les liens entre taux de l’épargne défiscalisée et
consommation sont ténus. Les Français ont, ces dernières années, eu tendance à
accroître leurs liquidités sur leurs comptes courants.
En revanche, politiquement, la baisse du taux du Livret A
est une affaire délicate au plus haut point d’autant plus que se profilent de
difficiles élections locales, notamment, les départementales en mars 2015. Dans
ces conditions, il est probable que le Gouvernement essaye de maintenir le taux
du Livret A à 1 %.
La consommation tourne toujours à petite vitesse
Au mois de novembre la consommation a progressé en France de 0,4 % après avoir reculé de 0,8 % en octobre.
Sur un an, elle est en recul de 1,1 %.
En savoir plus
Sur un an, elle est en recul de 1,1 %.
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lundi 22 décembre 2014
décollecte du Livret A, suspens et pédagogie
La Caisse des Dépôts retarde un peu la présentation des résultats du mois de novembre de l'épargne défiscalisé. En revanche, elle a soigné la communication. Ses représentants ont reçu les journalistes afin de leur expliquer que la décollecte qui devrait atteindre un record au mois de novembre ne remet pas en cause le modèle.
Après plus de 67 milliards d'euros collectés en deux ans, l'année 2014 devrait se solder pour le LDD et le Livret A par une décollecte se situant entre 8 et 10 milliards d'euros.
Les Unités de Compte ont le vent en poupe
Selon l'ACPR, le régulateur du secteur de l'assurance, les Français optent de plus en plus pour les unités de compte dans le cadre de leurs contrats d'assurance-vie. Baisse du taux des fonds euros, politique incitative des compagnies jouent en faveur de cette allocation plus à risques mais plus rémunératrice.
Selon l'étude de l'ACPR qui porte sur les douze principaux assureurs, sur les neuf premiers mois de l’année, la collecte nette de ces compagnies d’assurance a atteint 7,4 milliards d'euros dont 2,7 milliards d'euros pour les UC soit 36% de la collecte nette.
Voire la note de l'ACPR
Selon l'étude de l'ACPR qui porte sur les douze principaux assureurs, sur les neuf premiers mois de l’année, la collecte nette de ces compagnies d’assurance a atteint 7,4 milliards d'euros dont 2,7 milliards d'euros pour les UC soit 36% de la collecte nette.
Voire la note de l'ACPR
vendredi 19 décembre 2014
C dans l'air avec Florence Legros, membre du Cercle de l'Epargne
Florence Legros était l'invitée d'Yves Calvi dans le cadre de son émission "C dans l''Air" du 17 décembre 2014 consacrée à la retraite
Regarder C dans l'air du 17 décembre
Regarder C dans l'air du 17 décembre
Patrimoine de la France, stable à 13 345 milliards d'euros
Fin 2013, le patrimoine économique national s’élève à 13 345 milliards d’euros. cela correspond à près de huit fois le produit intérieur net de l’année.
Du fait de la stabilisation des prix de l'immobilier le patrimoine a faiblement augmenté en 2013 avec une hausse de 0,1 % en euros courants après - 0,3 %. Le patrimoine des ménages a augmenté de 0,8 % après + 1,7 %). Leur patrimoine non financier, constitué en majorité de logements et de terrains, a baissé de 0,1 % après - 1,3 % en 2012. Leur patrimoine financier, du fait de la bonne tenue des marchés a augmenté. Le patrimoine financier net des ménages a augmenté de + 6,3 % en 2013 après + 9,6 % en 2012. Le taux de progression reste supérieur à celui de la décennie 2001-2011.
En 2013, les fonds propres des sociétés non financières augmentent de 8,0 %, principalement grâce à des effets de marchés positifs sur le cours des actions. Cependant elles investissent peu, réduisent leurs stocks et limitent leur endettement. Par ailleurs la progression des cours accroît leur passif en actions de sorte que leur valeur nette diminue. Enfin, le passif des administrations publiques ralentit très nettement en raison de la baisse des cours des obligations
Lire la note de l'INSEE
Du fait de la stabilisation des prix de l'immobilier le patrimoine a faiblement augmenté en 2013 avec une hausse de 0,1 % en euros courants après - 0,3 %. Le patrimoine des ménages a augmenté de 0,8 % après + 1,7 %). Leur patrimoine non financier, constitué en majorité de logements et de terrains, a baissé de 0,1 % après - 1,3 % en 2012. Leur patrimoine financier, du fait de la bonne tenue des marchés a augmenté. Le patrimoine financier net des ménages a augmenté de + 6,3 % en 2013 après + 9,6 % en 2012. Le taux de progression reste supérieur à celui de la décennie 2001-2011.
En 2013, les fonds propres des sociétés non financières augmentent de 8,0 %, principalement grâce à des effets de marchés positifs sur le cours des actions. Cependant elles investissent peu, réduisent leurs stocks et limitent leur endettement. Par ailleurs la progression des cours accroît leur passif en actions de sorte que leur valeur nette diminue. Enfin, le passif des administrations publiques ralentit très nettement en raison de la baisse des cours des obligations
Lire la note de l'INSEE
jeudi 18 décembre 2014
L'INSEE voit une éclaircie pour la France
L'INSEE vient de publier son étude de conjoncture du mois de décembre.
Du fait de la baisse des cours du pétrole et de la dépréciation de l'euro, l'INSEE table sur une amélioration de la situation économique de la France dans les prochains mois. Néanmoins, l'institut statistique français ne prévoit pas de baisse du chômage en 2015 et s'interroge sur l'évolution de l'investissement.
Lire la note sur le site de Philippe Crevel
Lire l'étude de INSEE
Du fait de la baisse des cours du pétrole et de la dépréciation de l'euro, l'INSEE table sur une amélioration de la situation économique de la France dans les prochains mois. Néanmoins, l'institut statistique français ne prévoit pas de baisse du chômage en 2015 et s'interroge sur l'évolution de l'investissement.
Lire la note sur le site de Philippe Crevel
Lire l'étude de INSEE
Florence Legros participe à C dans l'Air
Florence Legros, économiste, professeur à Paris Dauphine et membre du Conseil scientifique du Cercke a participé à l'émission "C dans l''Air" sur les retraites du 17 décembre et Philippe Crevel, directeur du Cercle de l'Epargne a été interrogé dans le cadre du reportage
Regarder l'émission
La Cour des Comptes a publié son rapport sur la situation de l'AGIRC et de l'ARRCO.
Consulter le rapport
Le Conseil d'Orientation des Retraites a rendu public ses dernières projections
Consulter les projections du COR
Regarder l'émission
La Cour des Comptes a publié son rapport sur la situation de l'AGIRC et de l'ARRCO.
Consulter le rapport
Le Conseil d'Orientation des Retraites a rendu public ses dernières projections
Consulter les projections du COR
mercredi 17 décembre 2014
Les taux continuent de baisser pour les prêts aux PME
Selon la Banque de France, en phase avec la baisse généralisée des taux, les taux d’intérêt des crédits aux entreprises continuent de baisser quelle que soit leur taille. En particulier, les taux des crédits aux PME et microentreprises diminuent d’environ 20 points de base entre juin et septembre 2014.
À fin septembre 2014, l’encours des crédits mobilisés par les PME augmente de près de 2 % sur un an. La part des crédits mobilisés par les PME qui bénéficient des meilleures cotes de crédit (3++ à 4+) est stable (28,5 %). À fin septembre 2014, 59 007 PME ont été déclarées défaillantes sur les 12 derniers mois (+ 0,8 % en glissement annuel). En évolutions corrigées des variations saisonnières, le cumul des 3 derniers mois comparé au cumul des 3 mois précédents montre une progression de 1,4 %
À fin septembre 2014, l’encours des crédits mobilisés par les PME augmente de près de 2 % sur un an. La part des crédits mobilisés par les PME qui bénéficient des meilleures cotes de crédit (3++ à 4+) est stable (28,5 %). À fin septembre 2014, 59 007 PME ont été déclarées défaillantes sur les 12 derniers mois (+ 0,8 % en glissement annuel). En évolutions corrigées des variations saisonnières, le cumul des 3 derniers mois comparé au cumul des 3 mois précédents montre une progression de 1,4 %
lundi 15 décembre 2014
Retraite, tout pourrait aller mieux si tout va mieux
Les dernières projections du Conseil d'Orientation des Retraites soulignent que le besoin de financement serait de 0,3% du PIB en 2020 contre 0,5 % dans la projection réalisée en
2012,avant la réforme reportant l'âge légal de départ à la retraite dans le cadre du scénario moyen.
Les dernières prévisions du COR reposent pour le scénario central sur des hypothèses économiques toujours très optimistes avec un retour du taux de chômage à 4,5 %, 7 % au pire quand depuis vingt ans le taux de chômage n'a pas été inférieur à 7 %. Par ailleurs, le COR prévoit des gains de productivité se situant entre 1,3 et 1,8 %. Le taux de croissance moyen retenu tourne autour de 2,2 %.
Sans surprise, le COR indique que l'amélioration des régiames de retraite reposera sur le
recul de l’âge moyen de départ à la retraite qui passerait de 61 ans à 62,1 ans en 2018 et à
64,1 ans à fin 2030. Cette progression de l'âge moyen est imputable à l'allongement de la durée de cotisation à 43 ans et du report de l'âge légal de 60 à 62 ans. Le taux de remplacement des retraites baisserait de 22 % vers 2060.
Par ailleurs, le montant des cotisations augmente du fait de la réforme de 2014, des mesures prises en 2012 pour renforcer les carrières longues. Le taux de prélèvement atteint 30,8 % de la masse des revenus d’activité bruts dans la nouvelle simulation, contre
30 % envisagés en 2012.
La dérive la plus inquiétante est celle liée aux régimes spéciaux et aux dépenses de pension de l'Etat. Le taux virtuel de cotisation de l'Etat employeur est de 74,28 % contre 65,39 % en 2011. D'ici 2018, il faudrait trouver 3 milliards d'euros de plus pour l'Etat.
Si le taux de chômage reste à 10 %; le déficit des régimes de retraites se maintient autour de 0,5 % du PIB en 2040. Avec une croissance moyenne, le déficit serait de plus de 30 milliards à l’horizon 2030 (scénario C’).
Le Cercle en ordre de marche
Le Cercle des Epargne, de la retraite et de la prévoyance est un centre d'études et d'information indépendant qui a pour objet de réaliser des études et d'informer les épargnants sur toutes les questions relatives à l'épargne, la retraite et la prévoyance.
Le Cercle a signé un partenariat avec AG2R LA MONDIALE afin de pouvoir développer ses activités.
Le Cercle est présidé par Jean-Pierre Thomas et est animé par Philippe Crevel. Le Conseil d'administration est également composé de Jérôme Jaffré, de Jean-Francois Ropolewski et Christian Gollier.
Le Cercle est épaulé par un conseil scientifique composé d'experts reconnus dans les domaines de l'économie, de la finance, des retraites, du droit social ou du droit fiscal.
L'équipe du Cercle comprend Sarah Le Gouez, Olivia Penichou (communication) et Philippe Crevel.
Pour plus de renseignements, pour adhérer ou nous soutenir, vous pouvez nous contacter au 01 45 00 37 37
Afin de pouvoir développer ses actions en toute indépendance, le Cercle est constitué sous forme de Société par Action Simplifiée
Le conseil scientifique du Cercle comprend :
- Florence Legros, professeur d’université à Paris Dauphine,
- Jean-Paul Fitoussi, professeur des universités à l’IEP de Paris,
- Robert Baconnier, ancien directeur général des impôts et ancien Président de l’Association Nationale des Sociétés par Actions,
- François Héran, ancien directeur de l'INED
- Jean-Pierre Gaillard, journaliste et chroniqueur boursier,
- Jean-Pierre Thomas, ancien député et Président de Vendôme Investment,
- Jérôme Jaffré, directeur du CECOP,
- Jacques Barthélémy, avocat conseil en droit social et ancien professeur associé à la faculté de droit de Montpellier,
- Jean-Marie Colombani, ancien directeur du Monde et fondateur de Slate.fr.
- Philippe Brossard, économiste d'AG2R LA MONDIALE
- Christian Gollier, direction de recherche à l'Institut de l'économie industrielle de Toulouse
- Philippe Crevel
jeudi 11 décembre 2014
Le crowdfunding se met en ordre de marche
Depuis l'entrée en vigueur du nouveau cadre juridique, le 1er octobre dernier, les plates-formes de crowdfunding se mettent en conformité. Cinq plateformes se sont dotées du statut de conseiller en investissements participatifs (CIP), nécessaire pour les opérations de financement participatif en capital (equity crowdfunding). Selon le site Toutsurlesplacements.com, un seul nouvel arrivant, raizers.com n'a pas encore commencé son activité. Les autres sites sont opérationnels : Anaxago.com, Lumo.com,Sowefund.com et Wiseed.com.
10 nouvelles plates-formes se sont engagées dans le prêt aux entreprises. Le nombre de plateformes bénéficiant du statut d'intermédiaire en financement participatif (IFP) est passé de 5 à au moins 15 en moins de 2 mois plus tard. Les nouveaux arrivants sont : Tributile.fr, bitbankin.com, finsquare.fr, lendosphere.com, prexem.com, bluebees.fr, credofunding.fr, lendix.com, lesentrepreteurs.com et bolden.fr..
"Toutsurlesplacements" Vidéo de Philippe Crevel sur l'épargne salariale
Philippe Crevel pour le site ToutSurlesPlacements.com aborde l'épargne salariale au moment où la loi Macron prévoit d'améliorer son régime
La réforme de l'épargne salariale volet loi Macron : un petit pas en attendant un plus grand
Le Gouvernement pratique la réforme de manière impressionniste, par petite touche. Ainsi, la grande réforme de l'épargne salariale n'est pas intégrée dans la loi Macron. Il n'y a que quelques mesures, le reste fera l'objet d'amendements ou d'un nouveau texte au printemps.
Plusieurs mesures visent à favoriser le développement des
PERCO. Ainsi, le projet de loi autorise la mise en place de plans d'épargne
pour la retraite collectifs (Perco) par vote des deux tiers des salariés quand
il n'existe ni délégué syndical ni comité d'entreprise.Le Conseil d'Etat s'est en revanche opposé à la disposition qui permettait aux salariés ne disposant
pas d'un compte épargne temps de verser l'équivalent de dix jours de congés non
pris, au lieu de cinq aujourd'hui, dans
En cours d’examen en séance publique au courant du mois de janvier. Il pourrait être ajouté une réduction du forfait social pour les PME et une diminution des contraintes de passage des effectifs au-delà de 50 salariés pour les
entreprises mettant en place des dispositifs d’épargne salariale. Des
dispositions visant à mieux orienter l’épargne salariale vers le financement
des entreprises sont également à l’étude. La réforme de l’épargne salariale
version 2014 / 2015 n’est pas une révolution mais permet sans nul doute de la
relancer après plusieurs années difficiles.
Pour mémoire , en 2012, les salariés français ont reçu plus de 15,5 milliards d’euros au titre de l’épargne salariale Elle a bénéficié à 6,8 millions de salariés sur un total potentiellement couvert de 8,3 millions. Chaque salarié reçoit en moyenne 2 200 € par an. Les versements représentent environ 7 % de la masse salariale.En 2013, plus de 280 000 entreprises offrent un dispositif d’épargne salariale dont 273 000 ont moins de 250 porteurs.Selon l’Association Française de Gestion, les actifs gérés en épargne salariale ont atteint au 30 juin 2013, 110,8 milliards d’euros.
Le taux du Livret A baissera-t-il au 1er février 2015 ?
Sur fond de baisse des prix de l'énergie, au mois de novembre, l'indice des prix à la consommation (IPC) a baissé de 0,2 %, selon l'INSEE. Corrigé des variations saisonnières, il diminue de 0,1 %. Sur un an, l’indice des prix n' augmente plus que de 0,3 %,contre 0,5 % en octobre. Hors tabac, l'IPC croît également de 0,3 % sur un an.
Cette nouvelle diminution de l'inflation démontre les risques de déflation qui menacent la France et la zone euro. Elle pose également la question de la révision du taux du Livret A. En effet, d'ici quelques semaines, le Gouvernement devra décider d'une éventuelle baisse du taux pour le 1er février. Il s'appuiera sur les résultats du mois de décembre. En retenant la formule en vigueur, le taux devrait passer à 0,75 % contre 1 % actuellement. Le taux du Livret A est égal au taux d'inflation majoré de 0,25 point. L'autre option pDepuis le 1er février 2008, une nouvelle formule de calcul du taux est mise en place.
Le taux est égal, après arrondi au quart de point le plus proche ou à défaut au quart de point supérieur, au chiffre le plus élevé entre
- la moyenne arithmétique entre, d’une part, la moitié de la somme de la moyenne mensuelle du taux d'intérêt Euribor à 3 mois et de la moyenne mensuelle de l’Eonia (taux d'intérêt interbancaire au jour le jour de la zone euro (exprimées avec deux décimales) et, d’autre part de l'inflation
ou
- le taux d'inflation majoré d’un quart de point.
Le Gouvernement dispose d'un pouvoir discrétionnaire en matière de fixation du taux. A plusieurs reprises, il a décidé de ne pas augmenter le taux ou de l'abaisser (ce fut le cas en 2012 et en 2013).
mardi 9 décembre 2014
Les entreprises françaises se financent de plus en plus par les marchés !
Selon la Banque de France, au mois d' octobre, la croissance annuelle de l’endettement des sociétés non financières a atteint 5,7 % après 5,1 % en septembre.
Ce rebond est dû d’une part au crédit bancaire, dont le taux de croissance annuel passe de 1,9 % à 2,6 %, d’autre part au financement de marché, dont la croissance annuelle gagne 0,4 point de pourcentage par rapport au mois précédent, pour s’établir à 11,1 %
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vendredi 5 décembre 2014
La Lettre du Cercle du mois de décembre
Lire la lettre en pdf
Au sommaire de la lettre N°8
Au sommaire de la lettre N°8
L’édito de Jean-Pierre Thomas
Coté Epargne
- · Les chiffres du mois
- · Les temps nouveaux de l’épargne
- · Livret A, baissera ou ne baissera-t-il pas ?
- · L’Epargne salariale réformée !
- · Le PEL, la star du moment
- · Pas d’eurobashing pour l’eurocroissance
- · Et s’il fallait payer pour mettre son argent à la banque ?
Côté Retraite
- · Retraite, vous avez dit retraite ?
- · Les hauts et les bas des retraites chapeaux par Philippe Crevel et Jacques Barthélémy
Dossier du mois
- · Le crowdfunding, mode ou révolution par Philippe Crevel
L'épargne retraite n'est pas de l'assurance-vie
En France, l’épargne retraite est soumise grosso-modo aux
mêmes règles que l’assurance-vie quand bien même la nature de ses produits est
différente. En effet, avec l’assurance-vie, les souscripteurs peuvent entrer et
sortir à leur bon loisir avec, en ce qui concerne les fonds euros, une garantie
en capital. Il y a donc tout à la fois la sécurité et la liquidité. Pour les
titulaires d’un PERP ou d’un contrat Madelin, le versement de la rente ou la sortie
en capital (dans la limite de 20 % de l’encours) intervient qu’au moment de la
retraite. Ils s’engagement sur plusieurs décennies. Ce ne sont pas des produits
liquides. De ce fait, soumettre les produits retraite aux mêmes normes
prudentielles que l’assurance-vie n’est pas logique et peut aller à l’encontre
des intérêts des assurés. En effet, la réglementation Solvency II impose aux
professionnels d’accroître leur capital économique. Elle les conduit également
à privilégier les obligations d’Etat au détriment des actions. Les assurés
supportent les conséquences de cette réglementation avec une moindre
rémunération de leur épargne. Les
aménagements à Solvency II pour prendre en compte les spécificités de l’épargne
longue sont encore insuffisants. Il serait donc utile d’instaurer un cadre
prudentiel adapté à l’activité retraite supplémentaire. A défaut, les pouvoirs
publics devraient s’inspirer de l’exemple britannique en plaçant tous ces
régimes sous la réglementation IORP ou les maintenir dans le cadre Solvency I.
jeudi 4 décembre 2014
Les soi-disant « Retraites chapeaux par Jacques Barthélémy (Avocat Conseil en droit social Ancien professeur associé à la faculté de droit de Montpellier)
Jacques Barthélémy, membre du Conseil scientifique du Cercle de l'Epargne a rédigé une note après l'annonce d'Emmanuel Macron sur l'éventuelle refonte des retraites chapeaux.
Régulièrement, à l’occasion du départ en retraite d’un dirigeant d’une grande entreprise, la presse se fait l’écho de montants jugés indécents par un grand nombre de citoyens de « retraites chapeaux ». Les développements qui y sont consacrés ne mettent toutefois que rarement en évidence leurs caractéristiques identitaires. Ce sont celles-là : - D’abord, leur pratique est fréquente dans les PME au profit des dirigeants, même si le montant des rentes est évidement plus modeste ; prétendre que seuls les « grands patrons » en bénéficient est donc inexact d’autant que les systèmes doivent concerner
une catégorie objective de personnels.
- Ensuite, on met en avant le flou des règles d’attribution des droits alors qu’elles sont précises pour permettre la déductibilité de l’impôt sur les sociétés des contributions destinées à alimenter les rentes ainsi que pour définir le sort fiscal de celles-ci au plan de l’impôt sur le revenu et social à l’égard des cotisations de sécurité sociale.
- Enfin, on les présente par opposition aux systèmes à cotisations fixes dans lesquels les rentes sont la conséquence de cotisations contractuellement fixées ; or le régime fiscal et social des systèmes à prestations définies est le même si les droits s’y acquièrent progressivement tout au long de la carrière et sont maintenus en cas de départ de l’entreprise avant l’âge de la retraite ; dans les systèmes à prestations définies, l’obligation de l’employeur porte soit sur une somme égale au pourcentage du dernier salaire s’ajoutant aux pensions de sécurité sociale et de retraite complémentaire, soit sur un différentiel entre un pourcentage du dernier salaire et ces primes (d’où d’ailleurs l’appellation de retraite chapeau qu’un magistrat facétieux avait baptisé retraite haut de forme). Lire la suite
Lire la lettre
Régulièrement, à l’occasion du départ en retraite d’un dirigeant d’une grande entreprise, la presse se fait l’écho de montants jugés indécents par un grand nombre de citoyens de « retraites chapeaux ». Les développements qui y sont consacrés ne mettent toutefois que rarement en évidence leurs caractéristiques identitaires. Ce sont celles-là : - D’abord, leur pratique est fréquente dans les PME au profit des dirigeants, même si le montant des rentes est évidement plus modeste ; prétendre que seuls les « grands patrons » en bénéficient est donc inexact d’autant que les systèmes doivent concerner
une catégorie objective de personnels.
- Ensuite, on met en avant le flou des règles d’attribution des droits alors qu’elles sont précises pour permettre la déductibilité de l’impôt sur les sociétés des contributions destinées à alimenter les rentes ainsi que pour définir le sort fiscal de celles-ci au plan de l’impôt sur le revenu et social à l’égard des cotisations de sécurité sociale.
- Enfin, on les présente par opposition aux systèmes à cotisations fixes dans lesquels les rentes sont la conséquence de cotisations contractuellement fixées ; or le régime fiscal et social des systèmes à prestations définies est le même si les droits s’y acquièrent progressivement tout au long de la carrière et sont maintenus en cas de départ de l’entreprise avant l’âge de la retraite ; dans les systèmes à prestations définies, l’obligation de l’employeur porte soit sur une somme égale au pourcentage du dernier salaire s’ajoutant aux pensions de sécurité sociale et de retraite complémentaire, soit sur un différentiel entre un pourcentage du dernier salaire et ces primes (d’où d’ailleurs l’appellation de retraite chapeau qu’un magistrat facétieux avait baptisé retraite haut de forme). Lire la suite
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Lé révolution du crowdfunding en France
Le crowdfunding, entre rendement et risque... par BFMBUSINESS
Crowdfunding mais qu'est ce qu'est ce donc ?
Un peu moins de crédits à l'habitat et un peu plus de crédit à la consommation
Selon la Banque de France, le taux de croissance annuel des crédits aux particuliers a atteint 2,8 % comme au mois d'octobre. Cette croissance a été soutenue par une légère accélération des crédits de trésorerie (+1,9 %, après +1 % en septembre) compensant la moindre hausse des crédits à l’habitat (+2,6 %, après +2,7 %).
L
es taux d’intérêt des crédits nouveaux s’inscrivent en baisse entre septembre et octobre, particulièrement ceux des découverts
.
La production des crédits nouveaux (cvs) augmente très légèrement pour les crédits à la consommation (3,7 milliards d’euros, après 3,6 milliards d’euros en septembre) tandis qu’elle diminue pour les crédits à l’habitat (8,9 milliards d’euros après 9,1 milliards d’euros)
Lire la note de la Banque de France.
Lire la note de la Banque de France.
Augmentation des crédits aux entreprises au mois d'octobre
Selon la Banque de France, les crédits aux sociétés non financières ont augmenté en octobre avec une hausse de 2,6 %, après une hausse de 1,9 % en septembre. Les crédits de trésorerie ont augmenté de +1,8 %, après une baisse de 0,8 % en septembre. Les crédits d'investissement ont progressé de 3,2 %, après +3,1 % en septembre.
Le taux d'intérêt moyen des crédits nouveaux est en très légère baisse, que ce soit pour les crédits de montants supérieurs à un million d'euros (1,78 % après 1,79 %) ou pour ceux de montants inférieurs (2,61 % après 2,63 %).
Les crédits nouveaux (cvs) progressent pour la tranche des montants supérieurs à un million d'euros (10,3 milliards d'euros après 9,4 milliards) et enregistrent une baisse pour celle des montants inférieurs (4,7 milliards d'euros après 5,2 milliards).
mercredi 3 décembre 2014
Relative stabilité des taux selon la Banque de France au mois d'octobre
Les taux d'intérêt ont été globalement stables au mois d'octobre avec néanmoins encore une baisse pour les livrets bancaires.
(en pourcentage)
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