Les chercheurs de l'Institut tablent sur n scénario central probable à 80 % qui se caractérise par une croissance plate, une inflation faible et dans lequel l'activité immobilière reste déprimée ; les conditions de financement continuant de se durcir.
Dans le cadre du scénario alternatif, 20 % de chances , l'institut prend en compte les paramètres suivants : reprise de l'inflation, montée des taux, détérioration de l'activité immobilière.
Dans le premier cas, la demande de bureaux à louer s'élèverait à 2,3 millions de m 2. Dans le second, la demande devrait tomber à 1,7 million de m 2 en 2014.
Le chiffre de l'absorption nette, qui est la différence entre le nombre de mètres carrés loués et les surfaces quittées par les entreprises diminuerait dans les deux cas passant de 738.000 en 2012 à 461.000 en 2013 ou à 58.000 dans la version la plus pessimiste.
Il y a donc un risque de surproduction de bureaux pour l'Ile de France. le taux de vacance ne devrait pas trop bouger cette année et tourner autour de 8 %. Il y a vrai risque d'augmentation du nombre de bureaux inoccupés au-delà de 2014.
Les loyers devraient augmenter de 1 % supplémentaire en 2013 dans les quartiers de la capitale pour les immeubles neufs et les mieux placés. En cas de scénario plus sombre, une baisse d'u moins 3 % est attendue .
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire