L'étude indique que depuis 2011, les prélèvements sur l'épargne se sont accrus de 16,4 milliards d'euros dont 11 au titre des revenus du capital, 3,9 milliards au titre des plus-values et 1,5 milliard au titre de la détention des actifs. L'épargne financière a enregistré un surcroît de prélèvements de 11,9 milliards d'euros quand l'immobilier a été frappé à hauteur de 3,5 milliards d'euros.
Actuellement, la rémunération des livrets nette d'impôt serait de -2,3 % pour un contribuable soumis à la tranche de 45 % pour l'IR soit une perte d'un tiers du capital en 12 ans.
L'Observatoire souligne que la France est importateur net de capitaux et en particulier pour le financement des entreprises. L'Etat en plaçant ses obligations auprès des banques et des assureurs a asséché le marché financier. Il conviendrait de rééquilibrer le marché afin de permettre aux entreprises d'accéder à un financement plus national.
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