Les équipes de generali Investmenst décryptent l'actualité économique et financière en quelques pages.
Lire la lettre n°349
PIB chinois, indicateurs et résultats américains, missions obligataires européennes, tout a concouru à une belle semaine pour les principales places financières, confirmant un début d’année positif. La perte du triple A français vendredi 13 janvier a plutôt porté chance, au regard des émissions de dette françaises et espagnoles, largement souscrites et à des taux plus bas que lors de précédentes adjudications. Le déclassement de la France était non seulement anticipé, mais il a également été accueilli comme un soulagement car le risque de décrochage de deux crans au lieu d’un seul était possible. Du point de vue macroéconomique, le retour de la confiance a été alimenté par des indicateurs meilleurs que prévu, tels que la croissance chinoise, le moral des investisseurs allemands et le recul des inscriptions au chômage aux Etats-Unis. La baisse significative de l’inflation (Etats-Unis, Zone Euro, Royaume-Uni) s’est confirmée la semaine dernière et devrait permettre aux banques centrales de maintenir leur politique accommodante, ce qui est favorable aux marchés. Du côté des sociétés, les entreprises américaines ont dévoilé des résultats annuels supérieurs aux attentes, assortis de perspectives encourageantes. Seules les négociations entre la Grèce et ses créanciers ont suscité une certaine réserve. Les discussions portent sur l'effacement de 100 milliards d'euros de dette grecque. De l'accord trouvé dépendra la mise en place d'un second plan d'aide à la Grèce de 130 milliards d'euros.
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PIB chinois, indicateurs et résultats américains, missions obligataires européennes, tout a concouru à une belle semaine pour les principales places financières, confirmant un début d’année positif. La perte du triple A français vendredi 13 janvier a plutôt porté chance, au regard des émissions de dette françaises et espagnoles, largement souscrites et à des taux plus bas que lors de précédentes adjudications. Le déclassement de la France était non seulement anticipé, mais il a également été accueilli comme un soulagement car le risque de décrochage de deux crans au lieu d’un seul était possible. Du point de vue macroéconomique, le retour de la confiance a été alimenté par des indicateurs meilleurs que prévu, tels que la croissance chinoise, le moral des investisseurs allemands et le recul des inscriptions au chômage aux Etats-Unis. La baisse significative de l’inflation (Etats-Unis, Zone Euro, Royaume-Uni) s’est confirmée la semaine dernière et devrait permettre aux banques centrales de maintenir leur politique accommodante, ce qui est favorable aux marchés. Du côté des sociétés, les entreprises américaines ont dévoilé des résultats annuels supérieurs aux attentes, assortis de perspectives encourageantes. Seules les négociations entre la Grèce et ses créanciers ont suscité une certaine réserve. Les discussions portent sur l'effacement de 100 milliards d'euros de dette grecque. De l'accord trouvé dépendra la mise en place d'un second plan d'aide à la Grèce de 130 milliards d'euros.
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