Ainsi Patrick Lelong souligne que "le bénéficiaire salarié d'un PERCO peut y verser jusqu’à 25% de sa rémunération annuelle brute et l’entreprise peut donner un coup de pouce financier- ce que l’on appelle un abondement jusqu’à trois fois la contribution du salarié et 16% du plafond annuel de la Sécurité sociale. Les sommes investies (en Bourse ou dans des placements sécurisés) sont indisponibles sauf événements très exceptionnels jusqu’à la retraite du salarié. Et c’est une originalité et un atout, il est possible de sortir en capital".
Il précise qu' avec "la réforme des retraites de novembre 2010. La moitié des sommes versées au salarié dans le cadre de la participation va alimenter le PERCO par défaut".
Patrick Lelong mentionne également que depuis le 9 novembre 2011, "on peut verser dans son PERCO l’équivalent en euros de 5 jours de congés payés qui n’ont pas été pris dans l’année. Enfin, à compter du 1er avril prochain les plus de 45 ans, titulaires d’un PERCO se verront obligatoirement proposer des fonds pilotés dont la part en actions sera de plus en plus décroissante au fur et à mesure que le salarié se rapprochera de la retraite".
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