Selon l’étude réalisée par HSBC via son directeur des études économiques, Mathilde Lemoine, les prix des logements neufs et anciens en France ont retrouvé leurs niveaux d’avant-crise. Après une baisse « de 60 % entre le premier trimestre 2007 et le 4ème trimestre 2008, les ventes de logements neufs ont repris fortement, atteignant les 28 000 ventes par trimestre, soit les niveaux d’avant-crise ».
Selon l'économiste, la situation pourrait évoluer. Le récent rebond des mises en chantier (+1,4 % entre le 4ème trimestre 2010 et le 1er trimestre 2011) « cache un déséquilibre persistent entre l’offre et la demande. Le stock de logement neuf est très inégalement réparti en France ». Ainsi, selon l’étude, les délais de vente varient de 3,6 mois en Ile-de-France à 25,5 mois dans le Limousin au 4ème trimestre 2010.
Une autre limite apparaît, la solvabilité des ménages avec une baisse depuis le 3ème trimestre 2010 en ce qui concerne le segment des logements anciens, alors que la croissance des prix s’est accentuée, bien que stabilisée dans le neuf à la fin de l'année. Une tendance qui a continué début 2011 à mesure que les taux d’intérêt ont augmenté.
L’économiste parie sur une baisse légère.
Les prix ont augmenté de 9,3 % selon la banque entre le 2ème trimestre 2009 et le 4ème trimestre 2010. « Une forte croissance observée sur l’ensemble du territoire, pas seulement Paris, bien que la capitale ait montré les plus fortes hausses », souligne Mathilde Lemoine
La construction de nouveaux logements a été soutenue par la mise en place de dispositifs d’incitation fiscale comme le Scellier et le PTZSelon l'économiste, la situation pourrait évoluer. Le récent rebond des mises en chantier (+1,4 % entre le 4ème trimestre 2010 et le 1er trimestre 2011) « cache un déséquilibre persistent entre l’offre et la demande. Le stock de logement neuf est très inégalement réparti en France ». Ainsi, selon l’étude, les délais de vente varient de 3,6 mois en Ile-de-France à 25,5 mois dans le Limousin au 4ème trimestre 2010.
Une autre limite apparaît, la solvabilité des ménages avec une baisse depuis le 3ème trimestre 2010 en ce qui concerne le segment des logements anciens, alors que la croissance des prix s’est accentuée, bien que stabilisée dans le neuf à la fin de l'année. Une tendance qui a continué début 2011 à mesure que les taux d’intérêt ont augmenté.
L’économiste parie sur une baisse légère.
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