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vendredi 30 septembre 2011

Dette, toujours plus surtout pour l'Etat

L'INSEE a publié le 30 septembre le montant de la dette publique française à la fin du deuxième trimestre 2011. Il s'est élevé à 1 692,7 milliards d’euros en augmentation de de 46,4 milliards d’euros depuis la fin du premier trimestre 2011.la dette publique représente 86,2 % du PIB, en augmentation de 1,7 point par rapport au trimestre précédent. La dette publique nette progresse plus modérément (+23,1 Md€). L'augmentation est imputable en grande partie à l’État dont la dette progresse de 52,6 Md€ au deuxième trimestre ; il s’agit pour l’essentiel de sa dette négociable à long terme (+44,5 Md€). La dette à court terme et les dépôts des correspondants, hors administrations publiques, progressent respectivement de 4,5 Md€ et 1,8 Md€. Au cours du deuxième trimestre, les organismes divers d’administration centrale, administrations publiques locales et administrations de sécurité sociale se sont désendettés. La contribution des organismes divers d’administration centrale à la dette diminue ce trimestre (-1,2 Md€) en raison du désendettement de la Société de Prise de Participation de l’État (SPPE) à hauteur de 1,0 Md€. Les administrations publiques locales ont également diminué leurs dettes (-2,7 Md€) à un rythme comparable à celui observé lors des deuxièmes trimestres des années précédentes. La contribution des administrations de sécurité sociale a baissé de 2,3 Md€. En effet, la reprise de la dette de l’Acoss par la Cades (29 Md€) est en partie financée par des ventes d’actifs (2,1 Md€ du FRR et 5,2 Md€ de la Cades). Par ailleurs, l’Unedic s'est désendetté à hauteur de 1,3 Md€.. Lire la note de l'INSEE

1 commentaire:

  1. Proletarium

    Nous vivons dans un pays ou 80% des gens sont pauvres
    Qui n'ont jamais goûté et ne gouteront jamais les fruits de la croissance
    Supporter la crise, c'est leur seule et unique chance
    La moitié d'entre nous vit en dessous du seuil de pauvreté
    Nous ne vivons plus, nous survivons!
    Nous ne rêvons plus, nous crevons!
    Nous sommes les nouveaux prolétaires...

    http://www.lejournaldepersonne.com/2011/09/proletarium/

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